Histoire Ebola ; Et si l’Afrique disparaissait ?
Solidarité internationale, où te caches-tu en ce moment crucial où l’Afrique te veux ardemment ?
« Si tu veux devenir un aigle ne traine pas avec des pintades » dit-on ! Merci mentor Obambe Mboundze Ngakoso pour cette révélation. Eh bien, même en rêve, je n’ai jamais imaginé un monde sans l’Afrique. Grâce à toi j’ai découvert ce séditieux auteur de Jacques Marseille qui a eu l’audace outrecuidante de dire que la disparition de l’Afrique ne changerait rien à la marche du monde. Nom de Dieu ! Je crois rêver. Ou soit le contexte dans lequel il a écrit ce texte justifierait le prétexte. Des questions taraudent mon esprit…
D’une main puissante,la maladie à virus Ebola frappe l’Afrique de l’ouest au centre en passant par l’Est. Monstre qui dévaste tout à son passage. Les chiffres vont croissant. Plus de quatre mille morts à ce jour ! Un millier de personnes infectées et affectées, la panique générale… L’avenir demeure incertain…
S.O.S Afrique!!!
Maladie grave, incurable, inguérissable, mortelle, Ebola nous cherche noise. On n’a pas prévu un quelconque vaccin en RDC pourtant berceau de la dite pathologie, allégation non encore infirmée. Le pourquoi du comment, chacun jette la responsabilité à l’autre. Nous n’avons pas les moyens de notre politique, pourtant le soir à la télé on nous rabâche les oreilles que la croissance économique est en forte progression… TROUVEZ L’erreur…
Le seul instant où notre action est attendue, on ne sait marquer les esprits, oh ! Congo pitié.
Bon je ne cède pas à l’autoflagellation, car des vies humaines sont en danger. Le manque d’assistance des personnes en danger, crime infractionnel en droit international. Un reproche à la communauté internationale, citoyens du monde, ceci vous concerne. Comment comprendre que la majorité de patients de la fièvre EBOLA traitée en dehors de l’Afrique, guérisse et ceux soignés sur continent périsse avec une multitude qu’ils entraînent avec eux. INJUSTICE SANITAIRE A BAS.
Quoi qu’il en soit, l’Afrique ne disparaîtra. Sinon, donnez-nous le remède hic et nunc ! Shaloom